Hallucination ou réalité ? Comment frauder ?

La fraude au poker est plus rêvée qu’elle n’existe en vrai, surtout dans le contexte législatif exigeant qu’il y a en France. Il y a des principes faciles pour se préserver et de ne pas pouvoir tomber dans le piège de filous, d’escrocs ou de joueurs essayant d’abuser des règles.

Dans le cas d’une partie sur Internet

En France, le poker sur Internet est régi par l’ARJEL, l’Autorité de Régulation des Jeux en Ligne, à l’instar de tous les paris sportifs et hippiques sur Internet. C’est cet organe qui approuve les salles de poker sur Internet, qui les inspecte et qui détermine le pourcentage de commission qu’elles doivent établir.

Il est illicite et très sévèrement déconseillé de faire du jeu sur des salles non-reconnues par l’ARJEL, vous risquez de ne point avoir le droit de recouvrer vos profits et vous n’aurez personne envers qui vous retourner en cas de différend. Même si cela ne représente pas de la fraude à véritablement parler (dur de dissimuler une carte dans votre manche en jouant sur l’internet), ces vols peuvent vous être coûteux.

Dans le cadre d’une partie en situation réelle

En groupe ou en casino, le changeur va être fréquemment assisté d’une machine qui entremêlera et comptera les cartes, elle l’avertira s’il en manque ou si des cartes sont endommagés. Si vous constatez un problème, faites-lui constater aussitôt, qu’il s’agisse d’une mauvaise distribution (cela est possible) ou une carte montrant une anomalie.

Le changeur est dans la plupart des cas informé des principes et ne se laissera pas influencer par les joueurs qui s’y opposent. Si cela évite la fraude, veillez bien de votre côté à être au courant des particularités du jeu avec de réelles cartes cartonnées.

Placez toujours un jeton sur vos cartes privées de manière à ne pas vous les faire prendre par le changeur par exemple, cela s’est produit même chez les joueurs excellents. Aussi, ne saisissez pas de votre chef les jetons au milieu du tapis quand vous gagnez un pot, c’est la tâche du croupier. Vous aurez généralement besoin de faire de la monnaie avec de réels jetons et si vous jouez avec un seul jeton sans prévenir que vous relancez, ce sera pris comme un simple « call ». Avertissez toujours de manière limpide ce que vous allez faire au changeur, votre parole ayant plus de considération que ce que vous faites avec vos jetons, vous éviterez donc de commettre des impairs.

Faites gaffe aux parties privées

En fin de compte, c’est dans le cadre d’une partie privée que le risque de fraude est le plus considérable, vous devriez vous abstenir de jouer contre des joueurs dont vous n’avez pas personnellement connaissance, dans des lieux peu estimables et avec des mises trop considérables par rapport à ce que vous jouez normalement.

Face à des experts de la manipulation et un croupier déloyal, vous ne saurez même pas que vous êtes en train de vous faire voler, préférez donc le jeu en cercle autorisé ou en casino, vous profiteriez des inspections du service central des courses et des jeux de la police nationale, des caméras de surveillance et du besoin d’honnêteté et de bonne renommée dont ont besoin ces entreprises pour maintenir la confiance de leurs clients.

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  1. Il ne s’agit naturellement pas de faire la publicité de la fraude, ni de préserver le “tout est rigged”, très fréquemment entendu. Cet article est à titre informatif et peut aider à constater certaines circonstances de fraude, afin de s’en préserver.

Poker en ligne

Les superusers

Assurément, la méthode la plus sûre pour frauder en ligne. Dans les affaires Ultimate Bet et Absolute Poker, des salariés des plateformes possédaient des comptes superusers, au moyen desquels ils avaient accès aux cartes de leurs concurrents et/ou aux cartes à venir ! Un de ces fraudeurs, le tristement renommé Potripper, ne prenait même pas le soin de cacher la fraude, misant à chaque fois que le concurrent disposait d’un jeu faible et foldant à chaque moment qu’il était vaincu. Il remportait quasiment 100% des mains, et c’est même comme ça qu’il s’est fait démasquer, des mathématiciens ayant prouvé qu’il n’était statistiquement pas possible qu’il ne fraude pas. Un conseil donc, si vous avez accès aux cartes de vos concurrents : il ne faut pas omettre de perdre quelques mains…

Le graphe sus-affiché nous indique les résultats du fraudeur selon le style de jeu adopté (VPIP). La masse des points bleus constitue l’ensemble des joueurs “normaux”. Le point rouge, représente le superuser.

Soyez dans la peau d’un superuser le moment d’une partie !

Le piratage

Je vous en faisais part dans la légende du poker online : lancée en 1998, la première room d’argent en vrai annonça son algorithme de partage des cartes, afin de démontrer sa crédibilité. Hélas, peu de jours après des informaticiens avaient piraté le code et pouvaient savoir en live les cartes de tous les joueurs de même que les prochaines cartes, tout comme des superusers ! Cet événement a permis de perfectionner les générateurs de hasard, mais rien ne garantit que personne n’ait pu les pirater encore.

La collusion

Le fondement est simple : des associés s’installent à une même table, se partagent des informations et s’engagent en bloc contre le reste des joueurs. Les sites sont supposés être maintenant préparés contre cette technique de fraude et décèlent théoriquement assez vite toute équipe qui en général de trop se retrouve ensemble, ou qui joue de façon mystérieuse. Lorsque vous avez un soupçon, n’hésitez pas à le dénoncer à la room, qui s’occupera d’inspecter la fraude probable au plus tôt.

Les bots

Nous l’avons encore dernièrement vu avec le challenge Pokersnowie : les bots sont en mesure d’affronter de très bons challengers. Faire jouer à grande échelle des bots peut très bien payer : en 2013 des bots avaient piqué 1.8 Million sur la plateforme suédoise Svenska Spel, en jouant de la NL50 à la NL500. Mais il a finalement été procédé au remboursement des joueurs volés.

Le datamining et le partage d’informations

Un joueur n’est pas censé avoir d’autres informations sur ses concurrents que les cartes qu’il a utilisées contre eux. Toutefois, quelques sites réunissent et revendent des bases de mains et l’on a déjà noté des équipiers se partager des informations sur un autre joueur. C’est de cette façon que Brian Hastings, Brian Townsend et Cole South ont collaboré pour déceler les failles d’Isildur, en mettant ensemble leurs sessions. Résultat : Hastings en une seule session prit 4,2 Millions à Isildur. Il est indéniable que sans ce privilège à la lisière de la loi (de quel côté cependant de cette lisière ?) Hastings n’aurait jamais gagné autant.

Comment peut-on tricher au poker ?

Il y a, fondamentalement, trois approches de « fraude » au poker online, même si aucune ne détermine une martingale garantissant la réussite et la fortune.

La collusion passive

La première technique de fraude est la collusion passive. Elle est la technique de fraude la plus facile. Peut-être la moins assurée aussi, cependant elle offre à tout débutant la possibilité de s’entraider :

Il leur suffit pour cela que les débutants s’échangent leurs mains, et probablement les autres renseignements qu’ils détiennent (informations sur les joueurs à la table).

En étant au courant des cartes d’un ou deux amis, les fraudeurs ont immédiatement une quantité de renseignements additionnels que les autres n’ont pas, et qui rendent possible la prise des meilleures décisions.

Supposons qu’un fraudeur soit sur un sng, et qu’il soit au courant de ce qu’un camarade à lui dispose de K8s et l’autre 48o.

Supposons que ses deux amis aient foldé.

Supposons par la suite que ce fraudeur, grâce à QQ, parvient au flop avec top paire, avec un flop à 884.

Envisageons qu’un de ses concurrents au flop relance de manière agressive : notre fraudeur a la possibilité de conclure sans réserve que son adversaire qui sur-relance ne dispose pas de brelan de huit, et que ses probabilités de disposer d’un brelan de 4 sont plus ou moins faibles.

Il ne saurait être sûr que son concurrent ne dispose pas de KK, ou ne fait pas le jeu d’un tirage quinte gutshot, il ne peut même pas être sûr que son concurrent n’a pas un brelan de 4, mais enfin…

Il dispose suffisamment déjà d’informations pour savoir que de nombreuses situations les plus graves pour lui ne sont pas réalisables sur ce tour, et peut terminer sans difficulté à une forte probabilité de tromperie.

Sans les cartes de ses partenaires, la supposition d’un brelan de 8 en l’occurrence, restait spécifiquement vraisemblable, et l’aléa était donc a priori suffisamment élevé.

Connaitre les mains de ses amis permet donc de mieux jouer post-flop, avec une meilleure connaissance du terrain.

Avoir connaissance des cartes de ses amis aide, entre autres, à savoir lorsqu’ils ont mieux que soi comme main. D’où la seconde forme de complicité :

La collusion active

Il est question dans ce cas, de jouer comme si on était seul, pour se partager la cagnotte et déposséder ceux avec qui on n’est pas partenaires.

Les fraudeurs qui pratiquent la collusion active vont particulièrement éviter de s’attaquer, ils ne s’élanceront pas all-in l’un contre l’autre, et s’ils se rencontrent seuls en lice, ils s’épargneront le risque d’investissement de jetons additionnels, à moins qu’ils se sont convenus que l’un devait stacker l’autre.

Mais quand des équipiers sont complices au poker, ils ont encore de nombreuses autres stratégies à disposition pour déposséder leurs concurrents.

Spécifiquement, un premier joueur qui sait que son partenaire a de bonnes cartes, va faire une petite reprise, amenant beaucoup d’autres à suivre, et donc à amplifier le pot.

Son partenaire, de l’autre côté de la table, avec ses bonnes cartes, va pouvoir faire une grosse relance : bon nombre de joueurs coucheront leurs cartes, emmenant le premier joueur à gagner une grosse cagnotte, et même s’il reste des adversaires dans le tour, au moins le gain envisageable a nettement accru, mais pas le risque.

Les éventualités sont multiples et illégales : la complicité offre toujours la possibilité de mieux faire le calcul de ses risques et de ses profits, et offre toujours la possibilité à deux joueurs de s’abstenir de s’attaquer, renvoyant leur fureur contre les autres.

Clairement, dès que deux ou plusieurs joueurs s’organisent, la difficulté face à chacun d’eux est multipliée par autant de joueurs tricheurs.

La fraude à elle seule : les bots

Peut-on entièrement parler de fraude ? De toute façon bon nombre de salles de poker la désapprouvent et l’estiment comme telle. Le bot.

Pour faire plus clair, un joueur, à défaut de jouer soi-même et avec sa lucidité, va se faire remplacer par un logiciel pour jouer au poker, sur la base d’un programme et de statistiques préréglées.

Un bot n’est pas totalement différent d’un joueur : il décide, grâce aux renseignements auxquels il a accès, de quelle façon il doit jouer son coup. Et un bot n’a pas si tant de renseignements qu’un joueur humain, dans la totalité.

Cependant, les bots de poker peuvent constituer une fraude, car ils n’ont aucun leak. Autrement dit, ils ne commettent jamais d’erreur qui ne soit portée dans leur jeu.

Un bot peut déterminer, en un millième de seconde, les côtes et les outs de chaque tour, en toute circonstances, et toutes les éventualités probables avec les potentiels risques et avantages possibles qui vont avec.

Un bot peut se souvenir et garder par cœur la plus petite statistique sur chaque joueur. Il peut savoir de manière irréprochable juste son temps moyen de réponse, il peut garder son temps de réponse lors d’un bluff, et faire des rapprochements. Il peut avoir une précision très exacte sur les mains qu’un joueur a joué, et sans exception. Il connaît parfaitement le « loose » et le « tight » à la table, et dans quelles mesures, qui est violent et qui slowplay à mort. Ou pour ne s’en tenir qu’à cela, il est en mesure de le savoir car il peut tout relever pour réutiliser…

Bref, comme généralement, il s’agit d’un surhomme : il joue selon les mêmes règles qu’un homme, cependant il possède des aptitudes cognitives énormes.

Un bot est loin d’être invincible : même dans un jeu où la chance ne s’y mêle nullement, comme les échecs, Garry Kasparov a pu battre Deep Blue.

Les bots de poker peuvent, d’un autre côté, avoir un genre de jeu qui n’est pas toujours véritablement, totalement adéquat. Surtout qu’en général, ses rôles sont à jamais scriptées et qu’il lui arrive modérément de changer de techniques pendant une compétition parce que les conditions l’imposent.

Les bots de poker sont peu adaptatifs, ils s’instruisent peu. Ou du moins, ils gardent énormément de renseignements et adaptent leurs décisions en rapport, cependant leur jeu, dans son ensemble, avance peu.

Et leur jeu peut avoir ses limites. Tout comme un humain aux aptitudes cognitives très développées peut en dépit de tout être un mauvais joueur de poker parce qu’il adopte les mauvaises résolutions à base des meilleurs renseignements.

Du reste, il y a trop peu, ou même aucun, bot qui puisse être vainqueur continuellement face à des joueurs performants en NL Hold’em.

Néanmoins, l’avance net qu’ils ont sur bon nombres des joueurs de poker que l’on rencontre aux tables de No-Limit en fait des concurrents spécifiquement injustes.

Et puisque la majorité des salles de poker condamnent scrupuleusement l’usage de bots (Winamax, PokerStars, Real Deal Poker etc.), nous ne fournirons aucun lien de téléchargement d’un tel bot dans ce billet. De toute évidence, l’écrasante majorité sont soumis à un paiement, et les autres sont en général peu efficaces. 

Au-delà de la fraude…

Le poker hud – ou head-up display qui n’a aucun lien ou affinité avec le heads-up.

Un HUD, ou Heads Up Display, ne consiste pas en un programme de trucage à spécifiquement parler. Il s’agit d’un programme d’assistance à la décision.

Il complète des renseignements en surimpression sur la table de poker, sur la base de statistiques qu’il prélève et fournit en temps réel.

Spécifiquement, vous pouvez constater en temps réel, sous chaque joueur, et à base des données que le HUD a rassemblées de vos Hands History (HH), des données telles que son VPIP (Voluntary Put money In Pot : le nombre de fois qu’un joueur a voulu accéder à la partie préflop), son nombre de PFR (Post Flop Raise : se passe d’explication), son AF (Agression Factor), son taux de 3bet, et autres renseignements essentiels à la prise de décision.

Malgré que le HUD offre un juste bénéfice à ceux qui l’utilisent, il n’est souvent pas vu comme de la fraude à vraiment parler, et il est approuvé par la plupart des rooms de poker. Un petit nombre, toutefois le proscrivent, tel que Cake Poker.

Il y a beaucoup de HUD, souvent ajoutés à des logiciels dits « Tracker ». Vous avez spécialement PokerTracker 3 (payant), ou Elephant, servir gratuitement à ses membres par PokerStrategy (sans frais en mode basique pour tous les membres, sans frais sous modalités pour le mode avancé). 

Le calculateur de côtes

Version ultime du HUD, le calculateur de côtes se trouve déjà à mi-chemin entre le HUD et le bot (mais un bot basique).

Plus ou moins accepté, selon les rooms, il permet de compléter des renseignements, cette-fois ci tout droit sur ce que vous devriez faire, selon des cartes présentes, de votre position et des autres joueurs.

Quelques-un vont jusqu’à regarder si vos concurrents sont tight ou hostiles, puis, suivant ce qu’ils misent ou pas, en fonction de vos cartes personnelles et les cartes communes, suivant votre situation, et particulièrement au regard de l’importance du pot, ils vont procéder au calcul de vos chances de remporter et vous faire une proposition de jeu.

Quelques-uns ne vous font d’ailleurs pas de proposition, et se contentent de vous fournir des renseignements sur vos probabilités de remporter et sur la profitabilité de vos actes.

Il faut savoir que, si le sujet suscite votre intérêt, que le volet des calculateurs de côtes (odd calculators, ou calculateurs de gains) est une jungle, où l’on vous propose le mauvais comme le bon, gratuit ou payant, avec assez de trucages, de logiciels très couteux pour ce qu’ils apportent, de logiciels piratés entièrement louches et exposant votre PC au danger… et ensuite un petit paquet de logiciels sérieux et performants, en général payant.

Si jamais vous vous engagez à débourser pour un odd calculator, songez quand même à vous assurer de son autorisation ou interdiction par votre salle de poker favorite.

Sinon, il faut quand même savoir que la probabilité qu’un nombre insignifiant de joueurs autour de vous fait recours à ce type d’outils pour gagner un bénéfice décisif sur vous.

Quand plusieurs personnes autour de vous font recours à ce type d’outils alors même que vous, vous jouez « à l’ancienne », la room n’a pas besoin d’être rigged pour que vous soyez fortement défavorisé, quand bien même vous avez un jeu solide.

Quelques cartes pour contourner la fraude au Poker

Cet article va vous montrer comment identifier la fraude, donc si vous êtes en quête de techniques pour truquer, désolé, vous n’êtes pas à la bonne place. Être dupé lors de parties de poker arrive très souvent, mais cet article se focalisera sur un formulaire en ligne de tricherie. Vous devez être au courant de la façon dont les gens le pratiquent et comment vous pouvez identifier cela.

Présentement, les salles de poker Texas Hold’em sur l’internet sont la meilleure place pour jouer.

Vous ne devriez jamais placer votre confiance en des inconnus, vous devriez déjà être avisé de cela, et quand vous faites du jeu online, il est envisageable de réduire les gens suspects que vous croisez. Le croupier constitue un programme informatique, de telle manière que la fraude est très compliquée à faire et s’il y en existe tout de même, ce n’est souvent pas contre vous, mais plutôt contre le logiciel. Ne vous alarmez pas à propos du maniement des cartes, comme visiblement lors d’une partie de poker sur Internet, il n’y a pas de vraies cartes en jeu.

Il y a plusieurs joueurs de poker qui ne pratiquent pas le jeu online parce qu’ils craignent des pirates informatiques. Avant de jouer sur Internet, vous devez vérifier que la salle de poker dans laquelle vous vous apprêtez à jouer est crédible et sécurisée. Les salles de poker les plus renommées sont celles qui tendent à être sécurisées. Sites de casino pro. Dans Auparavant, il y avait des soucis de sécurité, cependant les salles de poker reconnues ont d’ores et déjà pris d’excellentes dispositions possibles de sécurité, de manière que beaucoup de joueurs de poker éprouvent de l’assurance en jouant sur ces plateformes.

La forme majeure de trucage est quand les joueurs travaillent en commun, ce qui est également désigné par « joueurs de collusion ». C’est lorsqu’il y a 2 ou plusieurs joueurs de poker qui exposent aux autres les cartes qu’ils possèdent. Ce genre de tricherie est assez complexe à exécuter lors d’une session en réel sur une table, cependant en jouant au poker online, cela peut permettre aux joueurs d’être sur leur mobile (ou le chat online) avec un autre joueur ou être assis auprès de lui en utilisant un autre l’ordinateur. La bonne nouvelle est que cette catégorie de joueurs est représentée en général par des joueurs qui ne savent pas en réalité comment se servir favorablement de la collusion. Ils doivent être bien organisés et cela demande beaucoup d’expérience. Les casinos en ligne sont en quête des indices de collusion entre les joueurs et ils procèdent à des contrôles pour savoir si 2 ou plusieurs joueurs jouent en général à la même table. Voici certains signes annonciateurs sur lesquels vous devriez être vigilant.

Les salles de poker sur internet les plus efficaces

  1. Il faut chercher les joueurs qui jouent parfaitement très vite afin d’avoir un autre joueur sur le jeu. Il faut également chercher les joueurs qui font la relance d’autres joueurs pour être avisé des joueurs qui ne sont pas dans l’arnaque, c’est-à-dire la collusion, relancer de nombreux paris aussitôt.
  2. Il faut chercher les joueurs qui ne joueront jamais avant le flop. C’est le moment que les joueurs prennent pour dire aux autres les mains qu’ils possèdent. Lorsqu’un joueur de poker est sur le point de jouer, contrôlez leur temps de réaction, lorsqu’un joueur est fréquemment lent pour faire ses choix, vous devriez évidemment être prudent.
  3. Il faut chercher les joueurs qui vont vous offrir la possibilité vos mises en sur-relançant avec une personne qui est placée au sein d’eux. Puisqu’un des joueurs va tenter d’avoir le plafond du montant de pari, dans le but de les faire partir. En jouant au poker il y a un temps idéal pour bluffer et il y a aussi des périodes où vous allez toujours devoir vous coucher, alors en ayant connaissance de cela, il faut tenter de découvrir tous les joueurs qui ont un assez faux jugement. Il faut identifier ces joueurs soit tel un joueur à qui vous allez devoir retirer de l’argent ou bien comme un potentiel fraudeur.

Ce genre de tricherie, ou tout genre de trucage même, est plutôt inhabituel. Si vous êtes certain que quelqu’un triche au cours d’une partie, vous ne devriez pas l’aborder pour lui dire, mais aborder plutôt les agents de la salle de poker au sein de laquelle vous jouez ou tout juste vous lever et déserter la table. Il y a tant de salles de poker en ligne de nos jours qu’il est facile de retrouver un jeu légal.

Contenu vérifié le 01/11/2018 par Romain Marrot, Conseiller indépendant en poker et paris sportifs

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