Bien organiser le bluff au poker

Le bluff revient à persuader son ou ses concurrents(s) que l’on détient un jeu en main autre que celui que l’on a en effet.

L’expression est tirée de l’anglais to bluff, « tromper » et plusieurs personnes rapprochent le terme « bluff » au poker. Cependant, les principes du poker sont assez délicats, et les tactiques de jeu bien plus variées.

On ne peut s’y dérober – bluffer est une partie entière du poker en ligne ou en salle classique, et surtout du Hold’Em. Un bluff parfait peut additionner une quantité impressionnante au pourcentage de gain d’un joueur, tandis que des bluffs non réussis et absurdes peuvent supprimer des périodes de bon labeur en peu de minutes.

Beaucoup de joueurs médiocres ne saisissent pas le procédé qui se cache sous le bluff. Ils ont remarqué un homme dans le WPT se mettre tapis et obliger un adversaire à coucher une main meilleure et ils se disent aisément « ah, je serais capable de faire ainsi ! ». Ainsi, ils mettent un peu de fonds sur une plateforme de poker ou s’en vont vers le casino à proximité, tentent, et semblent étonnés quand cela ne fonctionne pas aux premières mises : il est admissible qu’ils pensent « Bon, je suis seulement malheureux, c’était un faux timing », et ils tentent encore et ainsi de suite, et ils n’auront pas de réussite plus fréquemment que guère.

Ainsi, quelle est la grande faute qu’ils commettent ? Sont-ils seulement « malheureux » et pâtissent du « mauvais timing » ? Et bien, sans doute, partiellement. Une proportion certaine du poker est sans doute liée à la chance, notamment pendant peu de temps. Néanmoins, ils bluffent vraisemblablement de façon hasardeuse et n’estiment pas beaucoup d’éléments qui amèneraient les chances que leurs bluffs aboutissent en leur faveur.

Un excellent bluff est tout d’abord basé sur les évènements. Il y a un ou deux mois, j’ai consulté un post sur les forums qui énonçait un truc comme « Vous devriez essayer de bluffer x% du temps », et pas trop en plus. C’est une façon un peu comique de considérer le bluff. Au cas où je vous disais, « Vous devriez débourser en toute conscience dans le pot 20% du temps » et rien d’autre, vous devriez me considérer comme si j’étais aliéné, parce que cette statistique, telle que le bluff, est fondées sur les circonstances. Si vous vous trouvez à une table pleine serrée ou sur une à 6 joueurs maximum, vous devriez relancer très fréquemment avant le flop et d’habitude voir plus de flops, alors ce pourcentage sera bien sûr plus haut. Si vous êtes sur une table déloyale et hostile, vous voudrez certainement patienter pour des meilleures mains avant de jouer, donc le taux sera plus minimal. Penser « Aaah, je n’ai pas bluffé depuis un bon moment alors je devrais bluffer présentement pour maintenir mon quota » ou « Hé, je n’ai pas constaté de flop depuis longtemps, peut-être je vais seulement appeler « under the gun » avec 84 non-assorties » c’est tout juste grotesque, et est une énorme pas vers la ruine.

Donc, si on ne peut pas préciser en termes de pourcentage comment bluffer de la meilleure manière possible, comment l’évaluer ? Il y a beaucoup de circonstances où un bluff est plus possible, et davantage de réflexion à mener avant de bluffer, dont quelques unes sont citées plus bas.

La technique et la façon de bluffer au poker

Au poker, l’élément humain prend une place importante. En vérité, il ne s’agit pas de jouer contre une machine mais contre des concurrents qu’il va falloir tromper, surpasser. Le bluff représente alors à faire croire à ses concurrents que l’on a un excellent jeu qu’eux. C’est un procédé de jeu qui est très souvent utilisée mais qui réclame, pour être excellent, une meilleure lecture du jeu et une quantité de psychologie.

Il ne s’agit par simplement de bluffer par détresse, quand on a une mauvaise main. Un meilleur bluff doit débuter dès le commencement du jeu, avant même la « River ». C’est une des vraies techniques de jeu qu’il faut savoir faire en compétition.

Sans quelques occasions de bluff, il est impensable ou presque de remporter une compétition majeure de poker puisqu’il ne faudrait dans ce cas miser que sur le destin.

Enfin, il ne faut pas exagérer du bluff, ne pas grossir sa mise abusivement en s’exposant à tout perdre. Pour contrôler le bluff, il est aussi avantageux dans un premier temps de jouer fréquemment avec les mêmes adversaires afin de cerner leur façon de jouer et de pouvoir bluffer comme il convient.

Les motifs du bluff

Le bluff se réalise en premier lieu mise soit au bluffeur. Mais d’autres causes peuvent inciter à cette technique de jeu. Si le facteur humain est dans le souci de troubler les autres joueurs et donc qu’ils se couchent (« fold ») pour que la si fondamental au poker c’est que ce jeu est un vrai combat d’informations. Il s’agit à la fois de dissimuler son jeu, donc d’en faire diversifier la valeur et les coups fréquemment, mais aussi de lire le jeu du concurrent.

Ainsi, l’utilité du bluff se trouve dans les mises qui sont en jeu, et aussi dans la possibilité de créer un trouble chez ses concurrents. La confusion sera en vérité présente dans leur esprit, pour l’ensemble de la partie.

Une technique de jeu compliquée

De même, les pots gagnés permettent tout de même de hausser les mises et de déséquilibrer les adversaires. Le bluff offre ainsi la possibilité d’éviter un jeu linéaire, ce qui donnerait permettrait à ses concurrents de lire dans son jeu facilement et d’opérer en conséquence.

La technique de jeu consiste donc à décider à quel moment bluffer. En bluffant tout de suite dans la partie, ou très fréquemment, les concurrents ne seront plus intimidés. Par contre, ils ne douteront plus à relancer les mises du bluffeur. Il faut découvrir le juste milieu, ce qui veut dire la façon de déséquilibrer ses concurrents sans pour autant placer en jeu des mises trop élevées. Il faut aussi examiner un peu ses concurrents à la table pour déterminer ceux qui vont être compliqués à bluffer, comme par exemple ceux qui « callent » presqu’à tout moment.

Dans un coup, si le pot n’est pas considérable, il ne faut peut-être pas s’hasarder à bluffer. Par contre, si le pot est avantageux, bluffer renferme le danger que les joueurs ne se coucheront plus, parce qu’ils seront déjà investis dans le coup. Cela est encore plus vrai s’il reste assez de joueurs dans le coup.

Enfin, le bluff doit s’harmoniser dans un coup correctement. Choisir de bluffer à la Turn alors que l’on a seulement checké devient le commencement est risqué puisque vous misez tout sur la raison que vos concurrents estiment que vous avez obtenu la carte qu’il vous fallait. Le bluff réussi est fréquemment celui que l’on a pensé et affûter depuis le commencement du coup, en rapport bien sûr du comportement des autres joueurs à la table.

Tous les joueurs de poker, du nouveau au joueur expert, doivent obligatoirement cerner le bluff !! Savoir bluffer à la bonne circonstance est probablement l’unique manière de jouer sans s’appauvrir et certainement la seule façon de rempoter de belles mains au poker sans compter sur les cartes. En résumé, sans une part de bluff, le succès au poker est quasiment irréalisable !!! On en dit peu, bien qu’il ne soit pas aussi toujours utilisé qu’il ne le devrait.

Pour quelles raisons bluffer au poker ?

On a le même avis, s’il fallait supprimer le bluff du poker cela consisterait à en faire un jeu de combat ou de belote : Si vous n’essayez aucun bluff sur une table, tout d’abord vous devenez prévisible et ne n’allez pas être en mesure d’arracher de gros pots, et voire même ne pouvoir remporter une partie ou une compétition.

Et souvent le bluff au poker peut vous tirer de mauvaises passes quand le jeu ne vient pas ou que les blinds : (mises de jetons) commencent à être trop considérable pour ce qu’il vous reste de jetons (surtout sur les compétitions).

A quel moment bluffer ?

Cela ne se réalise pas par hasard mais bien loin de là, le coup doit être organisé à l’instant où vous savez que vous ne pouvez plus rempoter le pot ou que vous tenter de le prendre avant que toutes les cartes aient été partagées.

Il est mieux de faire le calcul pour savoir si un bluff sera avantageux ou non. Pour ce faire, vous devez calculer les chances que vous avez de faire un bluff appliqué par rapport à la somme du pari et de celui du pot.

Donc, une des aptitudes les plus primordiales est celle d’être capable de trouver les probabilités de vos concurrents et surtout leurs aptitudes de joueur.

En vérité, un bluff qui réussit contre un nouveau ne marchera pas vraiment contre un professionnel, et surtout il faut prendre en mérite les blinds versés au pot par vos concurrents, car s’ils sont trop considérables par rapport à leurs tapis, vous avez toutes les possibilités pour qu’ils payent afin de voir la dernière carte du tirage.

Quelques éléments qu’il faut considérer lorsque vous choisissez de bluffer :

  • Echelle des masses du concurrent
  • Effectif de joueurs sur le pot
  • L’image qui provient des joueurs de votre table
  • Votre manière de jouer le coup antérieur
  • Votre fond de jeton
  • La somme du pot
  • Votre situation par rapport à l’ouvreur
  1. Les masses

Ne bluffez particulièrement pas un concurrent faible qui est amené à débourser de par son faible tapis (et à qui on fait allusion en utilisant l’expression de « calling stations »). Ceci est la faute la plus habituelle pour un bluff non réussi. Agissez en sorte de vous rassurer que vos concurrents jouent assez bien pour savoir plier une main.

  1. Effectif de joueurs

Généralement, on ne bluffe pas un champ qui comprend plus que trois joueurs, et encore moins au Poker Limit.

Un bluff a plus de probabilité de réussite contre un seul ou deux concurrents.

Pas seulement parce qu’ils sont moins beaucoup mais plutôt parce que le pot est plus infirme, ce qui le rend moins important.

  1. L’image qui provient des joueurs de votre table

Un bluff n’a que peu de chance d’être bon si l’image qui provient des joueurs est celle de joueurs réservés et qui donnent le sentiment de ne pas être attentifs ou peu agressifs, ou par contre d’une table de joueurs où chaque coup est dur et où personne n’abandonne rien .

Si vous avez été contré récemment sur un bluff, vos concurrents seront plus tentés de vous payer dans à l’avenir, éventuellement cela pourra vous être avantageux sur des coups non bluffés.

Par exemple, si un joueur vous attrape en flagrant délit, il peut imaginer que vous bluffez une seconde fois et vous payez sur un coup gagnant.

  1. Vos aptitudes de joueur

Si grâce à beaucoup de parties jouées, vous lisez bien le jeu et êtes en mesure de distinguer vos concurrents par rapport a leurs valeurs probables de cartes (par exemple : Les coups où ils ne s’aventurent jamais sans de très importantes cartes), vous serez en mesure alors de déterminer les bonnes occasions de bluff.

Ceci est certainement la compétence la plus difficile à posséder et certainement la plus bénéfique à savoir cerner.

  1. Votre tapis (votre jeton primordial)

Plus élevé sera votre capital comparé à celui de vos concurrents, moins ils seront tentés à vous contrer.

En vérité, il est assez inhabituel de voir un bon joueur compromettre son capital sur un coup de bluff à par bien sûr les très incompétents joueurs.

Dans le même cas, si votre tapis est faible, ils seront chaque fois incités de vous mettre tapis, de plus cela ne leur reviendrait pas bien couteux.

Ne bluffez pas des tableaux avec assez de chances de tirages ou cartes qui auront toutes les avantages d’augmenter la main de vos adversaires.

  1. La somme du pot

Vos concurrents seront plus prédisposés a vous contrer si la somme du pot est généreuse car leur donne plus d’opportunité vis-à-vis de la partie.

D’autre part, si vous exécutez un bluff avec réussite dans un pot généreux, la gratification n’en sera que plus avantageuse.

C’est dans ces coups là qu’une bonne évaluation des mains potentielles de vos concurrents rentre en compte.

  1. Votre position

Si vous êtes le dernier à vous prononcer, vous aurez la chance à plus de renseignements que vos concurrents à propos des mains des joueurs et de ce fait, serez en bonne disposition pour bluffer.

Faites gaffes tout de même au sous-marin qui ne se prononce jamais, même avec les excellents mains (certains joueurs sont experts des contres).

De ce fait, un bluff doit être accompli obligatoirement avec une excellente perception des joueurs de la table.

Bluff d’accord, mais pas avec un joueur quelconque …

Rien n’est pire que de tenter de bluffer un joueur serré passif. S’il apparaît dans le coup c’est qu’il a une bonne main, il se procurera les jetons que vous lui proposez sans hésiter et donc vos mises ne seront que des présents pour lui. Vous devriez viser surtout les joueurs ayant un choix de mains large car c’est eux qui emmèneront le plus aisément leurs cartes vers le sabot.

… pas n’importe quel moment …

Ne bluffez pas non plus pré-flop au commencement de compétition avec des mises importantes, vous risquez de compromettre votre fiabilité pour un gain potentiel très bas. À ce sujet, il est sérieusement refuser de faire voir vos cartes une fois que vous êtes arrivés à faire coucher vos concurrents. Nous vous conseillons de cocher l’option « Ne jamais montrer les cartes » si vous jouez sur le net.

Même si vous pensez que vous auriez joué de la même façon si vous aviez eu de meilleures cartes, vous avez peut-être une faiblesse lorsque vous misez en circonstance de bluff, inutile de le démontrer à vos concurrents ou ils s’offriraient votre prochain essai rubis sur l’ongle. Cependant, le bluff est un des éléments les plus psychologiques du poker. Ainsi, contre un concurrent brusque en un contre un qui se couche en vous démontrant un jeu excellent que le vôtre, vous pouvez exposer les vôtres afin qu’il perde le contrôle (on dit qu’il « tilte ») et qu’il s’offre vos mises sans sourciller la prochaine fois que vous ne blufferez pas.

… et principalement ne pas en exagérer

En somme, employez la méthode de façon rationnel, abstenez vous de partir à tapis sans beaucoup de renseignements sur le jeu de vos concurrents ou de sur-relancer un concurrent qui est en train de vendre sa main car il ne veut que cela. Sachez diversifier entre bluffs vrai et semi-bluffs (lorsque vous essayez un tirage par exemple). Ne vous dites pas « Je vais l’essayer sur la suivante main » avant même d’avoir remarqué vos cartes et examiner les attitudes de vos concurrents.

La méthode absolue pour bluff : le triple-barrel bluff

Maintenant que vous maîtrisez les leçons de base au poker, vous savez que c’est en misant qu’on manifeste de la force. En maîtrisant cette leçon au flop, au turn et à la river, vous allez pouvoir remporter de nombreux coups.

Pré-flop

En premier lieu, pour bluffer, il est primordial d’être informé de l’impression qu’on a à la table. Si vous êtes très dynamique sur la table, les concurrents auront plus aisément de penchant à s’offrir votre mise pré-flop et souhaiter toucher quelque chose contre vous. De plus, il est primordial de choisir un bluff quand la plupart des concurrents avant vous a passé, et qu’il ne reste plus trop de gens derrière vous à parler. Au fait, si un joueur a déjà décidé pour une mise pré-flop et que vous voulez bluffer, vous risquez de tomber sur une grande main de sa part.

Alors, si vous êtes un joueur moins dynamique autour de la table et qu’une occasion de mise se présente à vous, vous pouvez donc commencer à bluffer le coup en plaçant une mise assez grosse (3Big Blind) pour supprimer d’éventuels concurrents voulant voir le flop généreusement.

Flop

Avec le flop, vous devez être sûr si vous pouvez poursuivre l’agression. En effet, un flop ayant un tirage couleur/quinte sera désavantageux pour vous. En effet, en décidant pour une mise pré-flop, vous évoquez des mains du type : AJ+, paire de 9+. En choisissant une poursuite bet sur un flop avec des petites cartes en connexion, vous perdrez de faite toute fiabilité. Le primordial pour vous est donc de tomber sur un flop «rainbow» (par exemple avec 3 cartes de couleurs variées) et qui possèdent une carte élevée.

Si vous êtes dans ce cas, une poursuite bet à hauteur de 60%,70% du pot fera abdiquer votre concurrent 90% du temps. Les 10% restants, il y a de fortes probabilités qu’il vous paye pour voir la turn.

Turn

Maintenant que vous êtes placé dans le coup et que vous déterminez une main, il est primordial de faire preuve de la puissance en décidant pour un second barrel à hauteur de 70% environ du pot. En effet, un check démontrerait beaucoup de faiblesse dans votre main. Cette deuxième mise de votre part est sensé démontrer le fait que vous cherchez à value votre main et donc de la force.

Si votre adversaire vous relance (ce qui sera rare), il est préférable de passer. En effet, le sur-relancer serait très risqué.

River

Si votre concurrent est encore dans le coup et qu’aucune carte ne vient augmenter un hypothétique tirage pour sa main, vous devez saisir votre courage à deux mains et décider pour une autre mise. Toutefois, la taille de la mise doit être bien imposante. En fonction de votre tapis restant, vous devez décider soit pour un all-in, soit pour un bet faiblement dominant au pot. Ainsi, en faisant une assez importante mise, vous polarisez beaucoup votre main. En effet, un gros pari peut soit indiquer un arrachage soit les nuts. Pour votre concurrent, il va alors être difficile dans la mesure où un call venant de lui pourrait compromet sa compétition.

Ainsi, dans 99% des coups, ce troisième barrel entraînera un fold de votre concurrent et un bluff réussit pour vous.

Voici un exemple du coup entre Phil Ivey et Tom Dwan, deux des plus réputés joueurs de poker mondiaux.

L’avantage de vos actions physiques

Bluffer, c’est tout d’abord jouer avec ses propres nerfs. Ainsi, pour ne pas que votre adversaire puisse voir que vous bluffez, il est important de suivre ces quelques règles pour ne pas lui donner des tells.

Prendre son temps pour miser : ainsi que vous venez de le constater, dès lors qu’au flop vous avez décidé pour bluffer votre concurrent, vous savez que vous devrez miser au plus 3 fois. Si au turn et à la river, vous misez sans essayer de voir la carte, vous êtes certains que le concurrent va vous jouer. Il est donc primordial de faire croire à votre concurrent que vous prenez une décision conséquente après chaque nouvelle carte.

Par contre, prendre assez de temps montrera un certain tâtonnement et donc une main faible. Ainsi, sur le net, le plus sûr est de prendre 10-15 secondes et en live, 30 secondes.

Bien vous dissimuler : généralement, votre grand rival, c’est votre corps lui-même. En effet, votre carotide vous trompera fréquemment quand vous bluffer. Ainsi, comme les experts, il est primordial de porter un habit comme une écharpe, afin de dissimuler cette partie de votre corps.

De la même façon, votre regard en dit beaucoup sur la force de votre main. Ainsi, regarder fixement le milieu de la table ou mettre des verres de soleil vous permettra de dissimuler ces tells.

Est-ce qu’il faut bluffer au commencement d’une partie à une table full ring ?

Le bluff est un atout dont il faut faire usage, cependant il ne r, mais il ne faut vraiment pas en exagérer. Au commencement de tournoi, le bluff est une technique qui pourrait vous valoir vraiment cher. En effet, mieux vous guettez la fin de la compétition et surtout un effectif de joueurs plus faible, plus votre bluff sera excellent.

Au commencement du jeu, le bluff est une technique plutôt risquée. En effet, quand la table est en mode full ring et que vous vous retrouvez dans les premiers niveaux de blind, vous n’avez pas encore connaissance de la technique de jeu de vos concurrents. Vous n’êtes donc pas sans danger de tomber sur un excellent bluffeur que vous ou tout facilement sur un joueur qui vous paiera jusqu’à la river avec une main moyenne, mais tout de même plus forte que la vôtre. Prenez le moment d’examiner un peu vos concurrents nouveaux avant d’essayer de les agresser par des relances en bluff.

Le commencement d’une partie de poker est généralement un temps d’examen peu favorable aux grosses agressions. Néanmoins, vous ne devrez pas pour autant vous dispenser complètement de bluff. Cette méthode peut vous permettre de connaître un peu plus sur vos concurrents. Toutefois, le commencement du jeu étant généralement paisible, vos bluffs ont plus d’avantages de passer qu’à un temps où les blinds sont bien plus hausses. Vous pourrez donc vous permettre quelques bluffs, mais jamais en engageant votre tapis ou des coûts trop grandes.

Et surtout, gardez bien à l’esprit que le bluff est une technique qui se met en place dès le début d’un coup. Ne vous risquez pas dans des arrachages à la river en plein bluff. Vous vous exposeriez alors à de hauts risques.

Résumé

Cerner le bluff au poker, c’est tout un art. Employé avec modération, il peut vous offrir la possibilité de remporter des coups avantageux. L’arme du triple-barrel sera votre excellent atout pour gagner un beau bluff. Mais prenez garde à ses choses, une carotide très empressée et le bluff est une défaite.

Contenu vérifié le 01/11/2018 par Romain Marrot, Conseiller indépendant en poker et paris sportifs

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