Voilà un tuyau de parieurs avisés qui peut se révéler utile dans le but de conserver au maximum son capital.

Définition d’une couverture au foot

Une « couverture » en pari sportif revient à réaliser un second pari par rapport au premier pari que « l’on souhaite couvrir ». Ce second pari peut avoir diverses natures, et pas nécessairement en totale contradiction avec le pari initial. Une couverture peut ressembler à un sure-bet quand bien même si quelques couvertures ne vont pas couvrir tous les résultats possibles mais juste les plus probables…

Plus qu’un pari double chance

Il diffère du pari double chance qui lui offre la possibilité de gagner aussi bien sur l’une possibilité que sur l’autre.

A titre d’exemple au cours d’un pari sur une rencontre de football où l’équipe favorite est celle qui accueille, un parieur qui choisit de jouer en double chance la victoire de l’équipe hôte (1) et le match nul (n) fait le jeu de la prudence.

Le fait est que lorsque dans ce schéma les cotes sont en général trop faibles (souvent autour de 1,10 1,15) pour se rentabiliser sur le long terme. Il est plus avantageux de prioriser le pari remboursé pour une des issues.

Présent chez presque tous les bookmakers

Vous avez la possibilité d’obtenir ce genre de paris chez presque tous les bookmakers. La forme la plus habituelle de ces cover bets est ce que l’on désigne par Draw No bet (DNB) plus explicitement le fait que son pari soit remboursé en cas de match nul. Progressivement les bookmakers étendent leurs offres de paris et soumettent des paris remboursés en ne se limitant pas à remboursant que le match nul, mais toutes les combinaisons envisageables.

Toutefois, si ce genre de pari n’est pas accessible, il est envisageable de faire le calcul de la façon dont il faut se faire rembourser.

Pour quel(les) raison(s) et quand se couvrir ?

Pour quel(les) raison(s) ? Pour ne pas prendre froid (!), autrement dit pour éviter de tout perdre en raison de réalités de jeux généralement incontrôlables. Le « quand » dépendra plutôt de la progression de votre mise principale et des possibilités de couvertures auxquelles vous avez accès. Généralement, les couvertures les meilleures se font en « live », plus précisément sur des matches en cours de jeu puisqu’elles offrent la possibilité de tirer profit d’un événement en temps réel.

Qui doit se permettre une couverture ?

Là aussi, comme dans toutes les techniques de jeu exposées sur le site, la couverture sera fonction de votre tempérament. La couverture n’est pas un élément obligatoire quand bien même elle est recommandée dans l’éventualité d’une gestion de bankroll « professionnelle » à partir d’un niveau déterminé de gain potentiel. En outre, il est envisageable de se couvrir à des hauteurs différentes par conséquent de ne pas perdre quelque chose de considérable e raison d’une couverture qui n’aurait pas du tout servi.

A partir de quelle cote peut-on passer à la couverture ?

Il n’y a pas de réponse toute faite qui soit valable, et une fois de plus la réponse à cette question sera fonction de votre profil de joueur. Dans l’idéal, la cote du pari principal doit au moins excéder 2, voire 3 pour permettre plus de possibilités de couvertures. D’autres paramètres comme le pari engagé, ou la réussite et le mental du joueur peuvent également définir l’attitude à adopter.

Des calculs faciles pour couvrir son pari au foot

Pour faire simple, sortons les calculettes, parce que les maths ne sont pas notre « fort ».

Dans cet exemple nous allons considérer un match où la cote à domicile correspond à 2, la cote du nul s’établit à 3.

Dans cet exemple on va dire que l’on souhaite parier en tout 10 euros, et que l’on fait le choix de parier sur le match nul en optant pour la couverture au cas où le favori gagne.

Nous calculerons en premier combien il faut miser pour couvrir son pari avec l’option de la cote à domicile (1). C’est facile ! Il faut juste faire la division du pari total par la cote, autrement dit 10 / 2 = 5.

Puisque nous avons employé 5 euros sur le résultat (1), il est aisé de faire la déduction que nous avons encore 5 euros à jouer sur le score nul. Vu que la côte du score nul est 3, cela nous fait 5 x 3 = 15 euros – les 10 euros totaux du pari = bénéfice envisageable de 5 euros.

Nous avons par conséquent pour la couverture posé 5 euros sur le (N) et 5 euros sur le (1).

En résumé, les scénarios envisageables dans cet exemple sont :

  • Si l’équipe favorite (1) gagne, les 10 euros que l’on remporte représentent le montant total du pari, par conséquent la mise est remboursée
  • S’il y a score nul, on remporte 15 euros desquels il faut soustraire les 10 euros de pari, soit 5 euros de bénéfice.
  • Si le 2 remporte, on enregistre une perte sèche des 10 euros pariés.

Bien sûr cela rémunère moins en comparaison au fait de jouer uniquement sur le match nul, toutefois cela vous garantira des plus récurrent en vous offrant l’éventualité d’un remboursement.

La couverture : complément bénéfique d’une approche

Dans le schéma d’une approche pour les paris sportifs qui revient à jouer l’équipe à domicile, la couverture est employée en guise de bon outil dans le but de sécuriser les gains.

D’une manière générale, cette approche du « cover bet » peut être employée sur tous types de paris et même sur des paris qui diffèrent. Pour illustrer cela, on peut très bien faire le choix sur un nombre de buts marqués dans un match et couvrir cette mise par la victoire du favori, en appliquant exactement la même approche.

Bien sûr, si cela fait que les gains sont plus fréquents, cela réduit d’autant le bénéfice comparé à un pari sportif classique. Cependant l’objectif d’un bon joueur est d’être gagnant sur la durée et la couverture s’avère être un des outils dont la maîtrise est indispensable dans le but de remporter aux paris sportifs.

Que peut-on attendre d’une couverture ?

Quelques couvertures vont consister à ne faire que le remboursement des mises engagées (autant par le pari principal que par le pari de couverture). D’autres couvertures servent à remporter au minimum la moitié ou la totalité du pari principal, ou même de remporter plus que le pari principal (quand bien même dans ce cas les rôles sont inversés, la couverture faisant office de pari principal).

Quelques cas de figure seront bien plus parlants qu’un discours sans fin

Pari principal sur un match unique, cote de 3 (approximativement)

Je parie 10 euros sur le score nul entre l’Inter Milan et la Lazio de Rome (20 décembre 2015) dont les cotes sont celles-ci : 1,72 – 3,50 – 4,80. J’ai donc la possibilité de remporter 35 € si ma mise est réussie.

Il est envisageable de se couvrir « avant match » avec le résultat 2 (dont la cote dépasse le pari principal. Il serait compliqué de faire une couverture avec la faible cote du 1). Bien évidemment, ici on ne va chercher qu’un remboursement du pari si le 2 sort car sinon en avant match il serait plus convenable de jouer le pari double chance N2 pour un même gain entre les deux issues.

Quel montant dois-je parier pour le remboursement ? Il existe assez de formules mathématiques, la plus facile toutefois est de se dire « si je parie 3 € sur le 2 je remporterai 3*4,8 = 13,6 € », par conséquent ça pourrait rembourser mon pari initial ajouté au montant de ma couverture (10+3 = 13 €). On peut vite aller à tâtons pour identifier le montant du pari en l’augmentant ou en le réduisant. Un petit tuyau consiste à partir de la somme du pari principal, de la diviser par la cote de la somme du pari de couverture, et de compléter 0,5 ou 1 à cette somme. Dans notre cas, nous obtenons 10/4,8 = 2,08. Si l’on complète 0,5, on a 2,58. Et 2,58*4,8 génère 12,384. Si on avait complété 1, 2,08+1 = 3,08, multiplié ensuite par 4,8, 14,78. Ce qui correspond à un remboursement à quelques pourcents près de l’ensemble des mises engagées.

Il faut remarquer que la couverture susmentionnée n’est pas un sure-bet d’autant plus qu’elle ne va couvrir seulement qu’1 parmi les 2 résultats capables de nous faire perdre, et qui plus est le moins envisageable…

Dans ce cas, quelle est la meilleure couverture ? La meilleure couverture reviendrait à suivre le match « en live » en étant connecté online chez un bookmaker de paris sportifs, et de patienter jusqu’au moins la 75ème minute de jeu dans l’espoir qu’à ce temps de match l’issue soit le score nul.

Vous aurez en face de vous deux possibilités. Soit, vous misez sur la double chance 1-2 et donc en fin de compte vous remportez un des deux paris (le principal ou la couverture), ou alors vous pariez sur un « over » de buts dépassant de 1 le score actuel. Par exemple, si à la 75ème minute de jeu, le score est de 1-1, vous avez la possibilité de miser l’over 2,5 qui risque à ce moment de jeu d’être coté à 2,0. Quand bien même la cote va être moins élevée que la cote du 1-2 (certainement à 2,4 à cet instant-là), cette couverture a la possibilité de passer au même moment que votre pari principal, si le match par exemple se termine en 2-2.

Si vous réussissez avec le match nul à patienter la 85ème minute de jeu, la cote du over 2,5 est censé être de 3,5 à 4,0, et là en pariant 9 ou 10 € vous allez gagner autant que votre pari principal. Vous avez également la possibilité d’estimer que le pari principal est quasiment gagné et ne parier que 3 ou 4 euros. Le choix vous revient.

Pour la petite histoire, la Lazio s’est imposée 1-2 jusqu’à la 88ème minute, la cote du 2 ayant grimpé à 9 juste avant le pénalty qui a donné la victoire.

Pari sur de nombreux matchs en combiné 2/2, 3/3, 4/4… et cote supérieure à 5

Pour être capable de faire la couverture de ce genre de combinés, les résultats de quelques-uns des matches du combiné doivent être entérinés. Soit en raison du fait que les matches sont achevés (et que l’issue est favorable), soit parce que les matches continuent mais que le pari est gagnant qu’importe ce qui arrive (un nombre de buts d’une équipe, sur des overs, un score à la mi-temps, un buteur dans une équipe, etc.).

La finalité recherchée ici va être de couvrir un seul match dont le résultat (comparé au pari) n’est pas évident.

Considérons que je joue 4 victoires à la maison, chacune d’elles cotée à 1,6. Je parie par conséquent 10 euros sur une cote totale de 6,55 pour 65,5 € de gains potentiels.

Mes trois premiers matchs se sont achevés avec le 1. Je n’ai plus qu’un match. J’ai donc une possibilité de couverture en jouant le N2 à 2,10, mais là-encore ce n’est qu’une couverture pour me faire rembourser la mise car 2,10 ne représente pas une cote élevée. Le mieux étant de suivre en « live » le 4ème match et d’avoir l’espoir qu’à un moment du match l’équipe à domicile mène. La cote du N2 va alors monter en flèche, à plus de 4 en début de jeu ou même à plus de 7 ou 8 en fin de jeu. On ne va pouvoir se couvrir qu’avec que quelques euros et garantir le profit.

Une couverture encore plus idéale serait de considérer « prochain but de l’équipe 2 » certainement coté à 5 en fin de jeu. Ceci offrirait la possibilité de remporter une fois de plus sur les deux tableaux si l’équipe 2 venait à inscrire le but, mais que l’équipe 1 reprenait l’avantage par la suite.

Couvertures qui permettent de remporter sur les « 2 tableaux »

Dans quelques cas, il est envisageable de faire la couverture tout en offrant une chance au pari principal de passer au même moment que sa couverture. Toutefois, cela implique en général des cotes de couverture plus basses.

Vous avez ci-dessous quelques cas de figure qui permettent une couverture « 2 tableaux ».

  • J’ai une cote qui va passer dans le cas où mon dernier match surpasse l’over 2,5. Le dernier match est lancé, il y a déjà 1-1 au bout de 10 minutes de jeu. J’ai la possibilité de couverture sur l’under 3,5 qui doit être coté à au moins 3 à cet instant du match.

On comprend aisément ici que dans le cas où le match s’achève sur un 2-1 ou un 1-2, on remporte les deux paris, tout en étant certain de remporter au minimum l’un des deux dans les autres scénarios.

  • J’ai sur un match un pari 1 ou 2. A 15 minutes de la fin du match, le score affiche un but d’écart, soit 1-0 ou 0-1. Je mise sur « prochain but de l’équipe adverse ».

Si l’équipe adverse revient au score, je conserve toujours l’éventualité que mon équipe reprenne le dessus. Il faut remarquer ici que la couverture n’est pas complète dans la mesure où si mon équipe inscrit le prochain but cependant encaisse dans la foulée 2 buts, le pari serait perdant (scenario souvent improbable, ou alors une nouvelle couverture est dans ce cas envisageable).

Variante du précédent cas. Le score est en faveur de mon équipe avec au minimum 2 buts d’avance. Je prends une nouvelle couverture avec « prochain but de l’équipe adverse ». Si l’équipe adverse inscrit, mes deux paris demeurent bons.

  • J’ai sur un match encore un pari 1 ou 2. Mon équipe a l’avantage d’un but. J’opte pour un over de « +1 but » à 10 minutes de fin de jeu.

Si mon équipe inscrit, la couverture passe et ma mise de base serait très bien engagée. Si l’équipe adverse inscrit, la couverture passe également et mon équipe a toujours la possibilité de reprendre le dessus.

Variante du précédent cas. Mon équipe a l’avantage de 2 buts ou plus. J’opte pour un over de « +2 buts » comparé au total de buts actuel. Si 2 buts ou plus sont inscrits, la couverture passe et le pari principal peut demeurer en vie.

Le Cashout

Bon nombre de bookmakers proposent dorénavant le cashout. C’est le même principe que le pari de couverture, à la différence que le calcul de la mise à réaliser est effectué automatiquement par l’ordinateur du bookmaker.

Cas de figure de cashout chez Betclic

Avantage du cashout pour le parieur

Le grand intérêt du cashout, pour le parieur, comparé au pari de couverture ordinaire, c’est qu’aucun calcul n’est à effectuer. La somme couverte est directement indiquée par l’ordinateur du bookmaker. C’est par conséquent vraiment très opérationnel et pratique pour le parieur.

Petit bémol cependant, c’est le site de paris en ligne qui propose au parieur le cashout. Cela veut dire que aussi longtemps que ce cashout ne lui aura pas été proposé par le bookmaker, il ne sera pas en mesure de le faire et va être obligé de revenir faire de façon manuelle un pari de couverture.

Avantage du cashout pour le bookmaker

Bien sûr, si les sites de paris sportifs rendent disponible cette fonctionnalité, cela signifie que d’un point de vue financier, le cashout est rentable. A priori, réaliser un cashout est disons comme si vous faisiez la revente de votre pari au bookmaker. A l’exception que, bien évidemment, ce dernier vous le rachète à un prix avatageux pour lui. Il s’agit par conséquent d’une première source directe de profit pour le bookmaker au grand dam du parieur.

De façon plus subtile, le cashout change le comportement du parieur. Cette option offre comme un sentiment de sécurité, ce qui influe sur le jugement et pousse à placer plus de paris sportifs. Il s’agit donc une source indirecte de profit pour le bookmaker, basée la durée.

Vous devriez par conséquent être assez vigilant avec le cashout, et l’employer avec modération, après avoir fait une bonne analyse de ladite rencontre sportive.

En quoi consiste la couverture d’un Loto Foot ?

La couverture sur un Loto Foot demeure une chose plutôt exceptionnelle (les horaires de matches et le prono faire avec), mais également parce que la couverture est déjà possible d’être garantie par les rangs inférieurs du jeu (par exemple toucher en cas de faute le 6/7 au lieu du 7/7), et la montée probable des rapports en cas de faute sur la dernière rencontre.

En revanche, il peut s’avérer toujours avantageux de tenter une couverture partielle du manque à gagner en cas de faute potentielle sur un prochain match ou un match en cours, si bien évidemment le jeu vise encore un rang gagnant.

Une couverture au Loto Foot n’est envisageable qu’à la seule condition que votre jeu soit à la base « bâti pour », en d’autres termes que vous ne disposez que d’un seul match qui peut vous faire commettre une faute sur les derniers matches de la grille par ordre chronologique.

S’il le dimanche soir à 21h00, il ne reste plus qu’un seul match sur la grille et que tous les autres prennent fin avant 20h00, alors si vous avez posé un simple ou un double sur le dernier match, vous allez certainement pouvoir couvrir en live au moins.

Cependant, si le dimanche à 21h00 il y a 3 matches, soit il va falloir que 2 des 3 matches soient des matchs très bien engagés (à la 65ème minute, un 3-0 pour Barcelone et le PSG par exemple), soit que vous ayez triplé 2 parmi les 3 derniers matches pour rendre possible la couverture du seul match capable de vous faire fauter.

Au LotoFoot, nous allons nous retrouver précisément dans une situation similaire au combiné de X matches ci-dessus décrit. Si nous avons encore une base 1 sur le dernier match, on rendra possible la couverture du N2 sur ce dernier ou patienter le temps du live et que l’équipe 1 mène. Si, mieux, on a posé 1N sur le dernier match, il faudra juste faire la couverture du résultat 2 en avant match, ou au cours du live avec une cote supérieure. Dans ce dernier scénario, si l’équipe 1 se retrouvait à s’imposer au cours du match (et qu’il s’agit d’un match équilibré), le 2 serait sûrement coté à plus de 10 en second mi-temps ce qui ferait place à une juteuse couverture à même de pouvoir compenser la différence considérable qu’il y a entre les rapports de chaque rang. On peut aussi à cet instant faire la couverture avec un prochain but de l’équipe 2, ce qui rendrait une fois de plus possible le gain sur les 2 tableaux.

Au cours des couvertures au LotoFoot, il est toujours avantageux de jeter un œil à l’estimateur de rapports dans le but de voir le potentiel des grilles qui se trouve entre les mains.

Dans quelques cas, on aura même la possibilité chercher à faire la couverture d’un LotoFoot alors qu’on est certain de terminer à un rang déterminé. En réalité, si on a triplé le dernier match figurant sur la grille mais qu’il y a des variations énormes de l’estimateur suivant les résultats 1, N ou 2 de celui-ci, il peut s’avérer avantageux de bénéficier du score en live du match pour faire la couverture d’un retournement de situation qui baisserait les rapports.

Couvrir en live ses paris

Cette méthode revient à faire la couverture d’un pari que vous avez réalisé avant le match et qui paraît mal engagé.

Considérons le cas d’un match de tennis, vous avez parié sur un joueur lors du match or le déroulement de la rencontre vous fait imaginer qu’il ne remportera pas. Il peut être quelques fois pertinent de parier sur l’autre joueur ce qui offre la possibilité de limiter les pertes.

Toutefois, ce type de scénario doit réellement rester exceptionnel, il faut juste accorder de l’attention au déroulement de la rencontre dans son ensemble et non pas uniquement les moments les plus récents. En sport, il n’y a rien qui soit toujours certain, et faire la couverture d’un match mal engagé peut vous éviter une accumulation de pertes trop considérables.

Le bookmaker de référence pour le football est Unibet, essayez cette approche gagnante et bénéficiez des 100 euros offerts en bienvenue sur Unibet que votre première mise soit perdante ou gagnante. Vous trouverez sur Wannabet de nombreux bonus Unibet.

Conclusion

Savoir faire usage des couvertures peut se révéler tout autant utile que de bien savoir faire des pronostics. Les couvertures peuvent éviter de grosses désillusions ou déceptions, quand bien même on ne peut pas en permanence y recourir étant donné qu’elles ne sont envisageables que dans quelques situations.

Contenu vérifié le 01/11/2018 par Romain Marrot, Conseiller indépendant en poker et paris sportifs